Chère Camille,
Après une semaine pleine de questionnements sur l’art contemporain, ses protocoles, paroles et temporalités, j’ai souhaité te parler d’une pratique qui s’extrait, ou en tout cas contourne ces préceptes ; une pratique qui se développe dans la lenteur et dans les détours de l’errance, ce qui la rend infiniment riche et subtile. Je te parle donc d’une très belle vidéo-performance de Grégory Buchert, qui s’intitule 858 pages plus au sud.
Je t’embrasse.